Pour une meilleure compréhension des phénomènes chimiques de surface, le matériau doit être analysé dans des conditions proches de celles de son fonctionnement. Ceci implique de réduire les gaps de pression (de l’UHV vers quelques mbar) et de matériaux (de systèmes modèles vers des systèmes réels). Cette méthode est connue sous le nom de Near Ambient Pressure Photoemission Spectroscopy (NAP-PES).
Les thématiques de recherche autour de l’environnement, l’énergie et le développement durable (interfaces gaz/solide et liquide/solide, catalyse hétérogène, réactivité et physico-chimie des surfaces, électrochimie,…) imposeront alors les contraintes sur l’environnement de l’échantillon.
En complément de l’équipement installé sur la ligne TEMPO au synchrotron SOLEIL, il est nécessaire de disposer et de faciliter l’accès à d’autres équipements NAP sur le territoire national.